L'histoire
Il était une fois un caleçon et une chemise. Ils donnèrent naissance à Calchemise
Vous en rêviez, nous l'avons fait.
Paris, un jour comme un autre.
Simon, alors étudiant ingénieur, constate avec stupeur que ses caleçons et ses chemises sont faits du même tissu. Pourquoi ne pas en faire un seul et même vêtement ? Le nom, Calchemise, sonne comme une évidence.
Mais les années passent, et le projet, souvent évoqué, n’est jamais sérieusement envisagé. C’est compter sans Clément, son ami ingénieur, qui voue un amour chaque jour plus téméraire à la couture. En février 2015, il offre à Simon le tout premier calchemise, confectionné par ses soins.
A Noël 2015, les précommandes sont lancées. Le succès est sans appel. Quelque chose de grave vient de se produire dans le monde de l’habillement masculin.
Un an plus tard, Adèle rejoint le projet, et prend les reines de la petite entreprise.
Depuis, nous travaillons sans relâche à créer, produire et vendre le Calchemise idéal. Ce qui nous meut : l’espoir de faire entrer le Calchemise de plain-pied dans le grand monde, le monde de la mode en grand.
Pourquoi le Calchemise ?
Ce qu’il apporte ? Avant tout, une extravagante originalité qui rompt avec la monotonie du vêtement masculin traditionnel.
Les femmes ont toujours joui d’une bouillonnante innovation en matière d’habillement, grâce à nombre de géniaux créateurs et créatrices rivalisant d’audace pour leur fournir de chamarrées merveilles. Mais l’homme aussi se soucie de son apparence. Il ne lui manquait que cet élégant outil pour en découdre.
Ce n’est pas tout.
Porté avec un pantalon, le calchemise est indétectable. Aux yeux du monde, il n’est qu’une chemise - impeccablement taillée, certes, mais une chemise quand même. Capable d’audace comme de discrétion, il est adapté au loisir comme au cadre professionnel le plus strict. Enfin, le calchemise est confortable et pratique. Balayons enfin d’un revers de manche la crainte de voir sa crédibilité s’envoler du fait d’un débraillage malencontreux. Apprécions, chaque jour, le plaisir simple de lever le bras pour attraper l’agrafeuse. Réjouissons-nous de la disparition de ces synthétiques élastiques qui assaillent nos tailles.